Présentation des personnages de la campagne (groupe originel)

Présentez et décrivez ici vos (anti)héros ...

Je me nomme Thanos

Un Laan taillé dans le roc haut de plus de 2m, mes muscles sont tendu et pret au combat.
Je suis un guerrier originaire des terres du nord , mon pére est chef de clan , chef de guerre , la magie est peu utilisé par chez nous car la force et l'entrainement prédomine .

Je suis arrivé dans ses terres désolés a la recherche de gloire et de fortune , j'ai trouvé des amis du moinq je le crois fermement , j ai trouvé l'amour , mais j ai trouvé les tourments de la trahison de l imcompréhension des puissants , les tourments de la mort par 3 fois vaincus .

Je suis devenus Le Chevalier Thanos D'ORGILION car il semblerai que mes ancetres viennent de ce lieu maudit.
J ai enfin compris la haine que porte Feu mon pére envers la magie , elle n a apporté que malediction , déshonneur et mort a ma famille.

Je veux changer cela mais meme si ma force , ma résistance est immense , je ne peux rien contre la déstiné ni contre les Dieux qui nous guident (ou qui nous contrôlent) .

D'impétueux guerrier je suis passé chevalier ensuite je suis devenu Comte d'Orgilion ,
mais tous cela a couté trop de sang trop de trahison , de complot , je ne suis qu un guerrier qui ne comprend pas tous ce qui se trame.

Désormais ma force sera toujours au service du Bien et du Dieux Marduk , je sortirai mes lames toujours en derniers recours elles ont gouté a trop de sang.

Ashura, prêtresse d'Artémis.

Je fus recueillie par celles qui sont maintenant mes sœurs, les Arktéia. Ma nature de lycanthrope était considérée comme un signe de malédiction pour certains. La religion et la solidarité des soeurs d'Artémis m'ont permis de devenir une fière servante de notre déesse de l'éducation des jeunes filles et de la chasse.

J'essaye aujourd'hui de transmettre à mon tour ses enseignements et de guider les jeunes filles et jeunes femmes perdues.

Ma rencontre avec le groupe d'Elsélia m'a permis de découvrir différents mondes et de forger mon caractère et mon endurance physiques, et d'être accepté parmi un groupe hétéroclite.
Cette aventure m'a également conduit à rencontrer une femme généreuse, belle, agile et d'une grande sagesse. Elle connut malheureusement une fin tragique. Elle se nommait Ahura.


Je vis désormais entre le monde d'Elysée et celui de Kulthéa. D'un côté je veille sur le temple et le centre thermal du village de Piréas (pouvant ainsi rendre visite à ma douce Ahura au pays d'Hadès, au bord du Styx), et de l'autre je passe aussi voir les jeunes femmes que nous avons sauvé du joug de leurs proxénètes dans la ville d'Espérance, en Emer, pour pouvoir leur transmettre la sagesse d'Artémis.

Ra’ipo’ia signifie  « ciel couvert appelant l’orage », je suis né un jour d’orage d’essence.
Cianàndacil signifie « celui qui a vaincu la lumière », en référence à ma maîtrise de la foudre (la lumière étant ce qui est le plus expressif, le plus visible, et surtout un élément considéré comme bon). Ce nom fut celui que j’ai choisi lors du rite de passage à l’âge adulte.

Elevé dans un petit village du Nord de Jaïman, moi, Ra’ipo’ia Cianàndacil, ai eu une enfance relativement paisible jusqu’au jour où mon frère aîné fut enlevé par, d’après les témoignages, un élémentaire de vent.

Ayant déjà commencé à apprendre la magie élémentaire auprès du Grand Maître du village, Fëanturi (Maître des Esprit), pour devenir Haut Elémentaliste, le plus prestigieux métier du village, je décidai d’achever au plus vite ma formation pour partir à la recherche de mon frère, Aeglos (pointe de neige). Fëanturi voulut absolument que je réussisse une épreuve avant de me laisser partir, signe que ma formation serait achevée. Il fallait que je bannisse un élémentaire de vent (qui est l’élément opposé à l’élément foudre, mon élément de prédilection).

J’appris très vite, beaucoup plus vite que les anciens élèves de mon maître (d’ailleurs, mon maître me laissa même participer à une bataille contre les Lûgroki envoyés par le puissant seigneur de l’essence Lorgalis Le Blanc pour terrasser le village). Moins de 2 mois plus tard, j’allai voir Fëanturi pour lui faire part de mon intention de passer l’épreuve.

C’est enfin le grand jour, je dois me rendre dans le haut lieu magique de Quellburn, en Quellbourne, dans le but de trouver un élémentaire de vent, et de le bannir. Sur la route, je m’arrête dans un petit village pour y passer la nuit, et j’y vois un élémentaire d’air, en pleine ville !!! Il était aux côtés d’un homme. Alors que je me demandais s’il pouvait convenir pour mon épreuve, il se transforma en homme. J’appris très bientôt qu’il s’agissait d’un élémentaliste. C’est plutôt rare les personnes qui maîtrisent les éléments. Il a fallu que je leur explique ma quête pour justifier l’action que je préparais.

Le lendemain matin, je parti pour trouver un vrai élémentaire. Je le trouvai assez vite. Et bizarrement, j’ai eu comme l’impression que c’est lui qui m’avait trouvé. Je commençais alors mon incantation pour le bannir, mais il fût trop rapide. S’engagea alors un combat, où je tentais d’appliquer tout ce que j’avais appris, et dont je me souvenais à la perfection. Pour combattre l’élément du vent, je dois utiliser mon élément de prédilection : l’électricité, et j’ai de quoi me protéger contre lui. Je suis assez confiant…

Mes yeux s’ouvrirent, je crus avoir fait un cauchemar, mais je ressenti une grosse douleur à la poitrine qui me ramena à la réalité. Pour la première fois de ma vie, j’eus froid, mais la douleur me le fit oublier. Au dessus de moi, Gwinaël s’affairait à soigner ma blessure. Il me dit avoir repoussé Temperis, l’élémentaire que je combattais. Ce dernier ne partit pas bien loin, car il réapparu au dessus de moi, envoya valser « Machin chose » avec une bourrasque, et me dit dans sa langue : « ton frère avait moins résisté ». J’utilisai mes dernières forces, décuplées certainement par la colère pour lui asséner un dernier coup, qui l’affaibli assez pour que je puisse le détruire. L’incantation terminée, je tombai de nouveau. J’avais réussi mon épreuve… Cependant, si Gwinaël ne m’avait pas suivi à mon insu, j’y serais passé. Je lui dois la vie.

Il m’accompagna revoir mon maître, mes côtes broyées et le récit (quelque peu amélioré) de Gwinaël permirent de montrer ma réussite. Nous prîmes alors la route avec « trucmuche ». Je ne voulais pas forcément de compagnon de route pour accomplir cette quête très personnelle, mais il me demanda très expressément de le laisser me suivre. Cela me permettra de lui rendre la pareille, j’accepte… Après quelques jours d’enquête dans les villages alentours, je réussis à réunir quelques informations à propos de mon frère. Un mage, Seregon (sang de Pierre), ennemi de notre père, l’aurait enlevé dans le but de lui faire suivre un enseignement différent de celui qu’il aurait dû avoir, sensiblement semblable au mien. Une piste sérieuse nous mène vers Sigil, nous devons nous y rendre à tous prix…



La plus grosse menace du coin de chez nous : le culte de l’Araignée, et un seigneur de l’essence (Lorgalis Le Blanc), qui a sa forteresse dans le Grand Nord de Jaïman. Il envoie régulièrement des mignons pour terroriser les populations et tout détruire.

Kelfour’s landing : les terres d’atterrissage de Kelfour. Ca doit être un port de commerce, il doit y avoir des nefs qui atterrissent dans le coin.

Haalkitaine, été 6053, les troupes du seigneur Dragon se sont retirées au nord, c’est calme dans l’empire de Rhakaan (dont la capitale est Haalkitaine). On va arriver là bas, après environ 1100 km de voyage, et donc quelques aventures.

L’histoire de Ashura


Elle est née de Aénor une très belle femme elfe, et de Cassiodore un homme noble, destiné à une autre femme de même rang.

Aénor était une elfe vivant en harmonie avec la nature en Arborée, qui profitait de la clarté de la lune pour se baigner près d’une cascade. Cependant, un soir de pleine lune, sa baignade fut interrompue par un regard indiscret. Elle vit alors un jeune homme, certainement un chasseur puisqu’il était porteur d’un arc, enfin c’est ce qu’elle pensa. Cassiodore apparu si soudainement que la jeune elfe glissa du rocher où elle était assise et manqua de se noyer si l’importun n’était venu à son aide.
La suite logique aurait été qu’Aénor remercie son sauveur. Mais cette dernière n’en fit rien. Elle le gifla et lui dit en un langage qu’il ne comprenait pas qu’elle aurait très bien pu sortir de l’eau seule et qu’en outre il était responsable de sa chute par son irruption soudaine. Cassiodore ne comprenant ni la raison de son geste ni de ses paroles, il resta sans voix et immobile face à sa colère avant de réaliser que la splendide créature qu’il venait de voir était déjà repartie dans les bois.

Une semaine plus tard, les pas de Cassiodore le menèrent de nouveau sur le lieu de la rencontre. Il espérait revoir la femme du clair de lune qui hantait ses pensées. Il avait même commencé à apprendre son langage pour lui parler et tenter de comprendre la réaction qu’elle avait eu à son égard. Il appelait la jeune elfe dans sa langue, espérant la voir surgir de l’eau ou au milieu des fourrées. Mais celle-ci n’apparut pas. Elle s’était tapie dans l’ombre, en observant. Voyant le jeune homme revenir toutes les semaines pendant un mois, elle se décida à l’interpeller et lui demander pourquoi était-il si insistant à vouloir lui parler. Celui-ci s’étonna que l’elfe parle la langue des hommes (qu’elle n’avait pas utilisé lors de leur rencontre).
Il lui dit alors qu’il voulait connaître les raisons de sa colère, la première fois. Elle lui répondit alors que son intrusion lors de son bain l’avait choqué et qu’elle ne lui avait pas demandé de la sortir de l’eau. Cassiodore eut un sourire, ce qui agaça Aénor. Il lui avoua de suite que sa beauté l’avait éblouie et qu’il ne pouvait oublier son visage. Puis il ajouta dans la langue elfique qu’il s’excusait de l’avoir importuné et s’apprêta à repartir vers ses terres quand la jeune elfe l’interpella. Elle s’excusa à son tour de l’avoir giflé et le remercia de l’avoir sauvé de la noyade. C’est ainsi que Cassiodore et Aénor se revoyèrent, de temps en temps puis plus souvent en journée pour des ballades en forêt.

Mais leur idylle n’étant pas du goût du père du jeune homme, car il était destiné à épouser une femme de rang noble dont le père était proche du sien. Il refusa le mariage arrangé et abandonna le domaine de ses ancêtres dont il devait l'hériter pour vivre avec Aénor.
Afin de vivre leur relation pleinement et sans représailles de la part de son père, ils décidèrent de fuir sur le plan d’Elysée d’où l’elfe était originaire.

C’est ainsi qu’ils vécurent leur amour sans se soucier des problèmes et profiter de la vie paisible sur l’Elysée. Ils eurent une petite fille, qui contre toute attente se révéla être lycanthrope vers l’âge de 6 ans. Les parents, confronté à la malédiction que présentait leur enfant, pensèrent tout d’abord à une punition. Ils payaient par là leur fuite et l’amour réprouvé par leur famille respective. Pensant avoir contrarié les dieux, et ne sachant que faire avec un enfant qui pourrait être dangereux, ils décidèrent de confier l’enfant aux bons soins de la déesse Artémis. Cependant en contrepartie de ce sacrifice, ils ne devaient plus revoir leur fille afin de pouvoir vivre leur amour en toute sérénité et ne jamais se voir séparés.

La jeune fille fut donc éduquée par les servantes de la déesse sur son domaine de chasse en Elysée. Elle montra des prédispositions pour être une courtisane plutôt qu’une combattante et fut donc confiée à une houri, prénommée Liobbe pour suivre son initiation.
Durant son initiation, elle fit preuve d’une grande agilité et d’une grande aisance aux arts de la danse. Sa volonté de réussite la mena à se rapprocher de son professeur, une personne d’une grande bonté. Mais son acharnement à toujours vouloir être la meilleure ne lui attira pas la sympathie de ses camarades, du fait également de l’isolement par sa nature particulière. La prêtresse d’Artémis, en revanche, considérait cette prédisposition comme un don de la déesse elle-même et fondait de grands espoirs en Ashura.
Mais cet isolement et la différence qu’elle ressentait par rapport aux autres la conduit à prendre la décision de partir vers l’âge de 15 ans, afin de découvrir ses origines et comprendre sa différence. Elle alla donc dans les bois, vers l’endroit où elle se souvenait avoir vécu, avant son entrée au temple. Elle n’y trouva pas ses parents mais rencontra une de leur connaissance qui lui raconta l’histoire de ses origines. Elle comprit alors que sa lycanthropie était la cause de son abandon et que pour le bien de ses parents elle devait s’en retourner vers sa déesse et achever son initiation. Elle rentra donc au temple auprès de Liobbe qui après l’avoir réprimandé et puni, écouta son histoire et son sentiment d’abandon et d’isolement. Elle lui expliqua que la lycanthropie n’était pas une malédiction mais un don qui la rapprochait des animaux.

Par la suite, Ashura décida de prouver sa loyauté envers Artémis afin de la remercier pour tous les bienfaits qu’elle lui avait apporté. Elle convainc Liobbe de la nécessité de prouver sa fidélité et son utilité auprès de la déesse, et celle-ci plaida pour envoyer sa protégée en mission.
Sa 1ère mission fut donc de  tuer un Arkhonte de la reine sorcière Lalali-Puy de Gulg en Athas en guise d’avertissement et punir de même l’Arkhonte qui avait commis un sacrilège (= tuer un animal sacré) envers la déesse. Cette mission fut la 1ère d’Ashura, permettant ainsi de prouver son efficacité et sa capacité à se débrouiller seule.


Le BG de Ashura n'était pas posté, erreur corrigée