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 Campagne Vampire Dark Ages : " L'Essence des Damnés " - Présentation des Personnages

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magnamagister
Grand Seigneur de la Galaxie Rôliste !
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magnamagister


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MessageSujet: Campagne Vampire Dark Ages : " L'Essence des Damnés " - Présentation des Personnages   Campagne Vampire Dark Ages : " L'Essence des Damnés " - Présentation des Personnages Icon_minitimeMer 22 Mai - 17:07

Venez présenter ici les Vampires de la Chronique.

_________________
Comment ça je suis un méchant MJ ? Bien sûr ! J'en suis fier même ! Et en plus vous me payez pour cela !
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Thraxassiliareth
Bêtisier vivant
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Thraxassiliareth


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MessageSujet: Perso de Thraxassiliareth   Campagne Vampire Dark Ages : " L'Essence des Damnés " - Présentation des Personnages Icon_minitimeMer 22 Mai - 20:30

Anna la serveuse.
Hambourg, Germanie, 1179. Hans, un batelier sur l’Elbe, et Théodosia, sa femme, accueillent leur nouvel enfant, une magnifique petite fille qu’ils nomment Anna. Ils ont déjà eu trois enfants mais aucun n’a survécu bien longtemps. Hans, qui n’est pas très malin et dont le comportement est altéré par l’abus régulier de bière, est déjà très violent, surtout avec sa femme. Il lui attribue la perte de ses enfants et la croit sorcière. Il a toujours hésité à la dénoncer pour ne pas finir sa vie seul. Alors il se défoule sur elle en la battant.
Cependant, cette fois, leur fille survit. Elle devient alors tout pour ses parents. Hans se calme, boit moins et surtout arrête de battre Théodosia. Les années passent, Anna fait le bonheur de ses parents. Plus elle grandit, plus elle ressemble à sa mère qui, curieusement, semble ne pas vieillir. Elle reste toujours merveilleusement belle. Les voisins ne peuvent s’empêcher de faire renaître la vieille rumeur: Théodosia est une sorcière.
Hans finit par se rendre à l’évidence: ils ont raison. Comment expliquer autrement son éternelle jeunesse? Un soir, après un détour par la taverne, il rentre au logis et questionne sa femme, violemment. Théodosia nie tout en bloc. Hans laisse tomber pour le moment, presque honteux de s’être laissé manipuler par ses compères de beuverie. Mais Anna assiste à l’interrogatoire musclé.
Le lendemain, la fillette questionne à son tour sa mère qui se dit qu’il est temps que sa fille commence son apprentissage. Théodosia est effectivement une sorcière… elle enseigne son savoir à Anna: les rituels, les potions. Elle commence par la théorie mais au fil du temps, elle lui montre la pratique et l’emmène de plus en plus souvent pratiquer ses rites chez les voisins, dans la forêt, partout où les talents de Théodosia sont demandés.
Pendant ce temps, Hans redevient violent. Il ne se doute pas que sa femme forme Anna. Jusqu’au soir fatal où une nouvelle fois, il tabasse sa femme qui finit par lui avouer qu’effectivement elle pratique la sorcellerie. Hans devient fou et frappe Théodosia pour la dernière fois. Anna est encore présente à cet instant. Alors que son père se rend compte de son geste et se répand en sanglots, Anna se saisit d’un couteau. Elle attend patiemment que son père sorte de sa torpeur, la regarde et comprenne son intention. Alors elle le frappe encore et encore, maculant la pièce de sang. Elle pratique ensuite le rituel d’éternelle jeunesse enseigné par sa mère: elle trace les symboles avec le sang, dispose les bougies, prononce les paroles puis retire le cœur de son père ainsi que celui de sa mère et les dévore crus. Elle finit par s’évanouir en prenant conscience à son tour de ce qu’elle vient de faire.
Le lendemain, Anna se réveille au milieu du sang séché, elle-même entièrement recouverte de ce sang. Elle panique et décide de s’enfuir après avoir incendié la maison. Elle a alors douze ans et erre sur les routes, mendiant, volant, rejetée par tous. Après avoir traversé le nord de l’Europe, elle finit par atteindre Paris. Après quelques temps passés dans les bas-fonds, Anna se fait remarquer pour ses charmes et se fait embaucher comme serveuse dans la taverne des Trois faisans. Elle travaille dur pendant quelques années mais l’argent qu’elle empoche n’est pas suffisant. Elle passe alors aux extras. Les années qui passent lui rappellent qu’elle ne va pas rester attirante pour toujours. Elle décide donc de se relancer dans les rituels de sa mère. Bientôt, Anna organise donc une retraite dans laquelle elle attire des hommes, mais aussi des femmes pour les sacrifier aux démons païens censés lui accorder la beauté éternelle.
Les offrandes se succèdent : pentagrammes, symboles magiques et sortilèges précédant le découpage méthodique des corps encore vivants des victimes, et l’ingestion des cœurs palpitants. Ainsi se passe la vie tranquille d’Anna la serveuse.
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belial83
Elle couche avec le MJ !
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belial83


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MessageSujet: Re: Campagne Vampire Dark Ages : " L'Essence des Damnés " - Présentation des Personnages   Campagne Vampire Dark Ages : " L'Essence des Damnés " - Présentation des Personnages Icon_minitimeDim 26 Mai - 18:53

Antoinette, Baronne de Saveuse

Fille de perruquier, originaire d’Amiens.
Mon enfance et ma jeunesse furent des plus calmes et insipides. Mon père est chapelier et ma mère l’assiste dans son travail. Mon frère aîné est destiné à la succession de la maison qui est très florissante, et mon frère cadet est écuyer et ne rêve que d’une chose, partir en croisade. Quant à moi, qui suis la dernière née, j’aide à la boutique en attendant de trouver un bon partie pour me marier et fonder une famille. Les noms de mes parents et frères n’ont que peu d’importance tout comme leurs ambitions.
Mon père voulant à tout prix me voir épouser un preux chevalier ou un noble marchand, je fus contrainte d’apprendre les rudiments de l’étiquette et de la bienséance ainsi qu’un minimum d’éducation pour me montrer ou plutôt m’exhiber sous mon meilleur jour. J’appris donc à lire et écrire, on m’enseigna également le latin et l’allemand (car une partie de notre clientèle venait de notre pays voisin du Nord). Ma mère me montra l’art de plaire aux hommes et de les séduire sans forcément être la plus belle des femmes.
Je me montrais donc des plus souriantes et des plus avenantes avec la clientèle masculine sans grand effet sur les plus riches qui venaient déjà accompagné de grandes dames et leurs cours affublés de somptueuses parures et autres atours pour cacher la platitude de leur esprit. Devant ces dames, je devais être plus effacée, car elles seules devaient avoir notre attention et nos compliments les plus enjôleurs. Mais les chevaliers étaient plus humbles. Le plus gentil était Ludwig, un noble chevalier allemand. Je lui portais toute mon attention à chacune de ses visites. Il n’était pas très à l’aise avec les mondanités, je lui donnais donc quelques conseils au vue de ce que ma mère m’avait appris ainsi que ce que j’avais pu observer auprès des clients. J’observais beaucoup les riches hommes qui nous rendaient visites afin de mieux leur plaire et mieux connaître leurs désirs et leurs points faibles. Et je savais comment plaire à Ludwig. Il aimait mon caractère discret et l’attention que je lui portais. Il se plaisait à me conter ses batailles et ses hauts faits d’armes, ainsi que les soirées mondaines (qui me plaisaient à imaginer).  Il venait me voir assez régulièrement, au bout de quelques mois je me plaisais à penser qu’il finirait par m’emmener avec lui. Nous nous sommes rapprochés et je finis par céder à ses avances…
Et puis, il ne vint plus. Après avoir volé mon innocence, il ne reparut plus à la boutique. Je l’aperçus deux mois plus tard, au détour d’une rue. Il était en charmante compagnie. Mon frère, chevalier depuis peu, m’apprit que la dame était fortunée et que Ludwig devait l’épouser prochainement. J’étais effondrée. J’avais été trahie par cet homme, je maudissais cette femme et son argent et je maudissais encore plus ce parvenu qui avait abusé de ma naïveté pour s’offrir une pucelle avant de s’enfermer dans son château. Lorsque je retournai à la boutique, Madame la Baronne de Saveuse était en train d’essayer une nouvelle coiffe pour l’hiver afin qu’elle paraisse moins vieille et moins malade surement. Amandine, l’une de ses dames de compagnie, voyant ma mine attristé, m’approcha pour s’enquérir de la raison de mon désarroi. Je lui confiai mon histoire à l’abri des oreilles indiscrètes. Amandine m’avait prise en affection car je ressemblais à sa sœur décédée à un âge précoce. Elle me parlait des soirées de la baronne et des potins de cours qu’elle aimait tout spécialement. Suite à mon récit, elle s’esclaffa joyeusement en me disant : « Ma pauvre enfant, tu es si jeune et si pure. Les hommes ne veulent que ce qu’ils ne peuvent avoir et quand ils ont, ils s’en désintéressent aussi vite. Et puis, pour un chevalier, épouser une noble dame ne pourra que servir son ambition de monter en grade. Tu n’aurais été d’aucune utilité pour lui. Il ne faut pas s’offrir au premier venu, tu mérites mieux. » J’avais pris une gifle. Comment les hommes pouvaient être si profiteurs et les femmes si sournoises. Ce n’était pas le monde que je connaissais et dans lequel je vivais. Puis, Amandine accourut aux côtés de la Baronne qui avait besoin d’aide pour se lever. Elle était assez âgée et très malade des poumons. Elle semblait de plus en plus pâle à chacune de ses visites. Amandine m’avait d’ailleurs confiée qu’elle espérait se trouver un riche époux avant que la Baronne ne meure sans quoi elle se retrouverait à la rue.
Je restais plusieurs semaines enfermée dans mon chagrin avant de reprendre mon courage à deux mains et d’affronter et plus encore piétiné de monde qui ne méritait pas mieux. Amandine m’enseigna comment jouer de mes charmes et mes atours pour attirer les hommes et en tirer le plus de profit, avant de les laisser dans leurs misères et sans leur avoir rendu quoi que ce soit en échange. Au début, je me sentais un peu coupable de faire aux autres ce qu’on avait pu me faire. Mais finalement, les hommes ne méritaient pas mieux que ça. Elle me présenta également un apothicaire, Mr François Troène. Elle lui achetait les remèdes pour apaiser la maladie de Mme la Baronne ainsi que quelques somnifères afin de mieux tromper ses amants. Je décidais donc de me lancer dans l’aventure. Le soir, je passais régulièrement chez Mr Troène pour qu’il m’apprenne à utiliser ses potions afin de ne pas faire d’erreur. Et la journée, je devenais une charmante hôtesse pour les riches clients venus acheter des coiffes et perruques. J’étais aux petits soins pour les dames tout en faisant les yeux doux à leurs maris. Après quelques temps, je commençais à être courtisée par quelques petits nobliaux et marchands. J’appliquais les conseils d’Amandine et lui racontait mes réussites. Mais mon ambition était grandissante. Mr Troène aimait l’intérêt que je portais à son métier et m’enseigna quelques rudiments dans l’art des potions.
Et puis un jour, Mr le Baron vint seul avec son fils à la boutique, il nous annonça que Mme la Baronne allait au plus mal et qu’elle ne pourrait plus venir. Je m’enquis de suite afin de lui assurer de notre soutien dans cette épreuve. Il me souri gentiment ainsi que son fils et ils s’en allèrent tous deux. Je m’étais déjà rapproché du jeune Baron depuis peu. C’est un homme plein de « malices ». Je pense qu’il n’était pas dupe vis-à-vis de mes projets d’avenir et avait lui aussi de l’ambition. Au cours des jours qui suivirent, je passais régulièrement au château du Baron afin de leur tenir compagnie et de m’enquérir de la santé de Madame. J’entretenais également Albert, le fils du Baron de mes projets. Celui-ci n’en paraissait pas le moins du monde choquer comme je m’y attendais. En effet, comme la fin de sa mère était proche, je lui proposai une décoction qui lui permettrait de partir sans souffrir, ainsi qu’un remède pour son père qui sans nulle doute finira par mourir de chagrin. L’idée lui sembla d’un premier abord assez choquante. Cependant, l’intérêt du pouvoir qu’il aurait par la suite et que je pourrais l’aider à agrandir lui parut de plus en plus alléchante.
La baronne mourut deux jours plus tard. Et son mari la suivit un mois après. Bien entendu, le baron avait eu le temps de voir son fils se marier avec une jeune femme des plus délicieuse et attentionnée, fille d’un riche perruquier d’Amiens, sans quoi l’accord aurait été annulé. Et il va de soi que Mlle Amandine est toujours dame de compagnie de la nouvelle Baronne de Saveuse et épouse d’un noble chevalier depuis. Et cela fait bientôt deux ans que je suis maîtresse des lieux, mais mon chemin n’est pas fini. Mon époux et moi-même pensant sérieusement à passer plus de temps à la cour de Paris.

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darktotor

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MessageSujet: Re: Campagne Vampire Dark Ages : " L'Essence des Damnés " - Présentation des Personnages   Campagne Vampire Dark Ages : " L'Essence des Damnés " - Présentation des Personnages Icon_minitimeMar 28 Mai - 2:18

Leandro l’apothicaire

Dans son enfance Leandro était quelqu'un que l'on pouvait qualifier de chanceux, second fils de riche banquier lombard installé à Milan. Il jouissait d'un physique agréable et d'une bonne constitution, il était de plus suffisamment malin pour pouvoir répondre aux attentes de ses parents en matière d'éducation sans grandes difficultés. N'étant pas destiné à recevoir l'affaire familiale, mais seulement à aider son frère, il pouvait passer la plupart de ses journées à s'amuser avec divers enfants de la ville sans avoir à se préoccuper de quoi que ce soit.

Cette situation aurait pu durer pendant longtemps si quand il avait 13 ans il n'était pas tombée gravement malade, attaqué par un mal inconnu il resta alité pendant deux mois, et quand il fut enfin guéri une grande partie de sa force l'avait quitté. Il ne pouvait plus guère effectuer de tâches physiques et il semblait qu'il ne pourrait jamais retrouver sa forme d’antan, quels que soit ses efforts. En soi ce n'était pas vraiment une catastrophe, de par sa naissance Leandro était de toute façon destiné à devenir banquier, une profession qui demande beaucoup plus de travail à l'esprit (qui elle était restée intacte) qu'elle n'en demande au bras.

Mais cet événement avait profondément marqué Leandro pendant les deux mois qu'il avait passés sans pouvoir quitter sa chambre il n'avait cessé de penser à son impuissance face à la maladie. Lui qui dans la vie avait toujours réussi à obtenir ce qu'il voulait sans trop d'efforts, pour la première fois il s'était trouvé en face d'un obstacle qu'il ne pouvait pas franchir, pire, d'un obstacle qu'il ne comprenait même pas, et ça il ne pouvait accepter. Il n'était pas possible qu'il y eut quelque chose en ce monde qu'il ne put dominer, ce n'était juste pas envisageable et Leandro n'allait certainement pas rester les bras croisés après une telle humiliation. Il décida donc qu'il allait apprendre à combattre la maladie et convainquit ses parents, après de longue discutions de le laisser aller à Salerne.

À Salerne il profita des enseignements de médecine les plus avancés de l'époque, et il acquit vite des notions en médecine supérieure à celle de la plupart de ses contemporains. Lorsqu’il eut 23 ans il reçut un message provenant de sa famille : ses parents étaient tombés malade, et les médecins locaux semblaient impuissants. Sûr de lui et de ces nouvelles connaissances Leandro retourna chez lui, plus fière à l'idée de pouvoir faire étalage de ses nouveaux talents qu'inquiété pour ses parents. Malheureusement pour lui quand il fut enfin de retour chez lui, il trouva une situation bien plus grave que ce à quoi il s’attendait, non seulement il n'avait pas la moindre idée quant à identité du mal qui frappait ses parents, mais de plus son frère aussi était tombé gravement malade. Paniqué il envoya un message à Salerne pour demander l'aide des professeurs en lesquels il avait le plus confiance. Mais même si la plupart d'entre eux répondirent présents à son appel il fut vite évident qu'ils ne pourraient en rien changer le destin tragique qui attendait sa famille. La seule chose qui restait à faire était de prier, et ce ne fut pas suffisant : les trois malades moururent dans la semaine.

Après cet échec il sembla évident à Leandro qu'il n'avait plus rien à faire dans cette académie, il voulait être capable de vaincre toutes les maladies quelles qu'elles soient. Des gens qui ne se battaient pas jusqu'à la toute fin n'avaient pas ce qu'il fallait pour être son professeur, et puisque cette école était supposée être la meilleure, eh bien, il allait continuer par lui-même. Après tout il possédait déjà de solides bases, il ne lui restait plus qu'à trouver un endroit où il pourrait se poser pour continuer à apprendre en toute tranquillité. Après quelques temps, il finit par ouvrir une échoppe à Paris avec l’argent hérité de sa famille, échoppe dans laquelle il vendit des remèdes ordinaires ainsi que des remèdes et soins « expérimentaux » aux patients pour lesquels la médecine classique ne peut plus rien … sans famille de préférence …
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Meiren
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MessageSujet: Re: Campagne Vampire Dark Ages : " L'Essence des Damnés " - Présentation des Personnages   Campagne Vampire Dark Ages : " L'Essence des Damnés " - Présentation des Personnages Icon_minitimeMar 23 Juil - 11:05

Bonjour ^^ voila donc l'historique d'un petit personnage qui débarque en plein milieu de campagne ^^

Elisabeth Traum : Je suis née dans une petite ville de campagne ou bourgeois et noble allaient et venaient pour se ressourcer ou satisfaire leur dame d'un voyage qui leur plait. Nous, artisans et marchands, nous nous pliions à leur volonté.  Je venais d'une petite famille de chapelier, ni riche ni pauvre notre père travaillait sans relâche tandis qu'il cherchait un mari à ses cinq filles. Etant la cadette on se souciait moins de moi, je fuyais cette obligation et mes devoirs de "dame" en allant dans les bois environnant pour jouer, courir, me salir, pour faire ce que je désire !
Pourtant ses années de plaisir ne pouvais durer, vint le jour ou les aînés casés, on se pencha sur mon cas. D'un physique plutôt plaisant malgré mon air buté et mon mauvais caractère, je n'aurais pas eu de mal à plaire si je l'avais voulu.
Après quelques années d'essais, mon père, déçu et frustré, devenait de plus en plus maussade, à la mort de ma mère, il se mit à boire, délaissant son atelier pour la bouteille. Pourtant les clients étaient toujours là. Je prenais leur commande comme si tout allait bien tandis que je maigrissais de jour en jour et que les cernes se formaient sur mon visage. Toutes les nuits, je les passais dans l'atelier à m'essayer à l'art de la coiffe. Je faisais de mon mieux, jouant avec les matières et les décorations. Certains clients ne revenaient plus, mais mon originalité en conquit d'autres et je pus à nouveau manger à ma faim. Personne ne savait que j'étais l'auteur de ce travail, personne ne m'aurait cru.
Mon père ne revenait plus à la maison depuis presque deux semaines. Mais le travail se faisait. Je n'étais pas inquiète. Quand soudain, une rumeur se rependit dans la ville, on disait mon père mort, on me disait coupable. Tout les regards se tournaient vers moi, les murmures désobligeants, et bien entendu, les clients qui ne revenaient plus. Ma vie n'avaient plus aucun sens.
N'en pouvant plus je suis revenue à mon premier amour, fuyant dans les bois, fuyant au plus loin pour pouvoir y mourir, loin des regards loin de ceux qui m'ont abandonné …
Mais je fis une rencontre au cœur de ses bois, une rencontre qui donna un nouvelle essor à ma vie, qui me donna une vie immortelle.
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