La Campagne "La Boca Del Diablo / N.O.M" (10)

Chapitre X : "Ni à Dieu, ni au Diable !"


"Le marteau & les tenailles" (4) (Freiburg)

Bien, nous sommes sortis indemne de cette grotte pour être encerclés.

J'aimerais vous proposer quelques idées pour nous donner un avantage dans cette affaire.

- Faire tonner les canons et charger avec les hommes d'équipages en coordination avec les hommes du manoirs, il n'y a pas de boulet mais ça fera du bruit et ça fera son petit effet qui pourrait les déstabiliser, et rameuter la garde aussi....

- J'infiltre l'adversaire et grâce à nos dons particuliers (Cris d'animaux d'Ussuran, Willie bourré, ...) on peut réussir à leur faire croire que l'action en cours est vouée à l'échec.

- (à long terme) j'infiltre la pégre pour en prendre le contrôle et essayer d'approcher le Big boss pacha usurier et de prendre sa place.
L'idée est de garder la pégre sous contrôle et tous les bénéf en fait seront reversés à la ville.

- (à long terme ) faire en sorte que nos ennemis (mon prince, Sicée de Sicée, et Morangias se bouffent la gueule entre eux).

Voilà.

Ze butch a écrit:

Bien, nous sommes sortis indemne de cette grotte pour être encerclés.

J'aimerais vous proposer quelques idées pour nous donner un avantage dans cette affaire.

- Faire tonner les canons et charger avec les hommes d'équipages en coordination avec les hommes du manoirs, il n'y a pas de boulet mais ça fera du bruit et ça fera son petit effet qui pourrait les déstabiliser, et rameuter la garde aussi....

- J'infiltre l'adversaire et grâce à nos dons particuliers (Cris d'animaux d'Ussuran, Willie bourré, ...) on peut réussir à leur faire croire que l'action en cours est vouée à l'échec.

- (à long terme) j'infiltre la pégre pour en prendre le contrôle et essayer d'approcher le Big boss pacha usurier et de prendre sa place.
L'idée est de garder la pégre sous contrôle et tous les bénéf en fait seront reversés à la ville.

- (à long terme ) faire en sorte que nos ennemis (mon prince, Sicé de Sicé, et Morangias se bouffent la gueule entre eux).

Voilà.

- Canons + hommes d'équipage mouais, la garde a d'autre chats à fouetter.

- Infiltrer les adversaires ça va prendre du temps sinon on peut balancer l'Ussurane à poil, ça peut distraire.

- Nos ennemis ? TES ENNEMIS on a que Morangias en commun , Sicée je te rappelle à tout hasard que c'est ma chef hein et j'm'appelle pas judas !

Euh "indemnes", parle pour toi, Konrad va avoir besoin de voltaren et de deux aspirines, le pauvre petit...

- Un bon point pour Butch, on a, en effet, c'bon vieux Willy (et sa "drunken master", si tu veux) et les matelots, tous dévoués aux seins de Lulu, pour riposter et péter des tronches. Pour ce qui est des hommes du manoir, ils sont 5 max et ne sauront surement pas comment contrer un assaut, même si on avait des boulets (et pourtant ça manque pas)...

- d'un autre côté, comme le souligne R-no (qui va prendre un poing aussi), je veux carrément bien faire diversion avec ma poêle et mon tisonnier, avec une technique redoutable, qu'on appelle plus couramment "se jeter dans la mêlée et mordre et griffer tout ce qui dépasse", pour vous donner le temps... de faire pareil !
Et je te rappelle qu'il n'y a toujours pas de garde à Freiburg ! Les seuls mecs qui défendent la veuve et l'orphelin, défendent actuellement leur ville des pillards.

- pourquoi tu veux infiltrer un truc qui va mourir ? L'usurier, on va l'approcher via sa sonnette pour lui raconter comment les vallons montaginois vont bientôt lui sauver la vie et combien c'est reposant de faire du beurre dans les alpages...
Tant qu'à retirer des bénefs de la pègre, autant instaurer des impôts, ça coutera moins au gens...

- j'ai du mal à voir ce qui pourra opposer nos "ennemis"... De Morangias est en effet un ennemi, mais pour le faire tomber, on peut aussi demander à Sicée, je suis sûre que ça lui plaira. Elle est chiante et un brin envahissante quand on la connait, mais c'est pas vraiment un ennemi (enfin je parle pour moi). Après, faut que tu vois avec mon mari, c'est le seul à avoir réellement un grief contre elle.
Pour ce qui est de ton prince, perso, j'opterai plutôt pour un profil bas. J'ai pas bien compris comment t'as réussi à obtenir le gant de Konrad, mais chu presque sûre que c'était pas gratis...

...

"Sicée je te rappelle à tout hasard que c'est ma chef", me le rappelle pas trop fort quand même... Y'a un animal poilu qu'a déjà prit une rafale de baffes pour ce méfait !

Citation :

"Sicée je te rappelle à tout hasard que c'est ma chef", me le rappelle pas trop fort quand même... Y'a un animal poilu qu'a déjà prit une rafale de baffes pour ce méfait !

L'unique différence est que je vous emmerde pas avec :p , comme si je te reprochais d’être pote avec Matushka ! chacun son boss mec ! euh gonz ! sinon on demande à Lucille d'ouvrir un bordel de fortune gratis pour distraire les assiégeants !

Ou alors on fait tout cramer et on appelle les fidèles de Légion pour qu'ils nous servent

R-no je passe te prendre samedi pour la partie ?

Ça roule.

Autre idée j'infiltre avec brio (normal) les assaillants et lors de leur défaite je les suis, voir je sauve le chef pour m'en rapprocher, et je les suis jusqu'à la planque.

De là je pourrais sans doute suivre le chef et découvrir des preuves contre lui et ses employeurs (rencontre après l'attaque ratée ?) et ainsi les faire tomber, je peux être suivi de l'Ussurane transformée pour l'occas'.

Ha oui R-no on passe se prendre un truc pour manger ?
Et Alex quel sera le menu du soir ?

C'est juste pour savoir si je fais des petites courses.

Ce sera sandwiches-pain maison, comme à chaque fois qu'il y a autant de goûts différents à satisfaire ...

A peine l'émissaire des Nibelungen partie, et nos héros engagés dans une discussion sur la manière de gérer leur siège, qu'ils se voient lancer un ultimatum par le Sieur Depaix, retranché dans l'un des bâtiments voisins avec ses canailles. Ils ont jusqu'au crépuscule pour quitter librement le manoir par la seule voie qui leur est laissée libre : l'embarcadère sur le Rotström où les attend leur navire ...
Il est bien évident que nos héros n'ont aucunement l'intention d'obtempérer. C'est Amaury qui décide le premier de se rendre sur la caravelle afin de mettre en place la première étape du plan. Lucille, elle, monte sur le toit et se tient en position, prête à tirer sur le bâtiment où est embusqué le chef des brigands. Konrad se tient pour sa part dans l'écurie, et selle son fidèle dromadaire de guerre. Enzio et Léonora sont restés pour l'instant dans le hall, et la baronne aux côtés de Savino, au premier étage.
Les hostilités commenceront au moment où Amaury tentera une sortie avec une vingtaine d'hommes d'équipage armés. Le Montaginois avait eu la présence d'esprit de commander aux artilleurs de charger une bordée avec de la mitraille. Alors que le groupe est pris pour cible par des projectiles incendiaires, Amaury utilise la sorcellerie Porté pour éviter d'être atteint, lui et ses hommes par des projections enflammées. Il commande tout de suite une réplique, une fière canonnade de shrapnels qui va leur permettre de couvrir leur retraite vers le bateau, et très sérieusement égratigner la façade du bâtiment où sont terrés leurs assaillants. C'est alors une pluie de bouteilles enflammées qui jaillissent de toutes parts pour venir se heurter à la façade et à la toiture du manoir pour tenter de l'embraser, pas moins de quatre foyers ! Lucille parvient à réagir contre les assaillants du bâtiment qu'elle visait, et c'est plusieurs vauriens qui se retrouvent à prendre feu alors qu'un projectile leur explose dessus ! Léonora fonce rejoindre Lucille pour aider à éteindre les premiers foyers grâce à la Sorcellerie Fuego Adentro. Konrad et Svetlana se retrouvent pour leur part à charger la maison où se cache Depaix sous le feu de l'ennemi. Enzio, lui, fonce au salon pour éteindre l'un des foyers, le plus redoutable, à l'aide de rideaux, sous les tirs de mousquet !... Savino et ses hommes de main aident pour l'instant à éteindre les autres foyers, avant de se lancer vaillamment à l'assaut des autres bâtiments alentours. Tout s'enchaîne alors très vite. Konrad et Svetlana se débarrassent facilement des brigands encore debout, et commencent à botter les fesses de la crapule montaginoise, mais ce dernier parvient à échapper au couple infernal en sautant dans la rue. L'Ussurane le rattrape sans attendre en le plaquant lourdement au sol après un bond magistral sur son dos, coudes en avant ... Konrad se précipite à son tour dans le bâtiment adjacent, traversant murs et fenêtres comme si c'était du papier, fort de son armure en Dracheneisen, et se débarrasse d'une dizaine de brutes et de l'un des seconds de Depaix, Axel. Pendant ce temps, Enzio, qui a tenté d'intimider les canailles qui ont tenté de l'abattre, s'aperçoit que c'est la Tarentelle qui est à leur tête, et les menace de mort s'il leur venait l'envie de tourner les talons ... Le Vodacci prévient alors tous ses compagnons, ce qui invite Léonora à investir acrobatiquement le bâtiment la première, pour se retrouver seule face à la Tarentelle, mais également Mathilde, son Pavois Eisenör, Jorg, et un mage Porté entièrement dévoué à l'âme damnée de Morangias, en plus d'une dizaine de brigands. La Castillane est heureusement très vite rejointe par Lucille, puis Amaury, grâce à un portail Porté, et finalement Enzio. Mathilde en profite pour s'acharner sur sa tante, son pavois lui garantissant de garder Léonora et Amaury à distance. Mais la Tarentelle a senti que la situation lui échappait et ordonne au mage d'ouvrir un portail. Elle protège le montaginois contre les attaques d'Enzio, d'Amaury, et de Lucille grâce à ses couteaux, et à son éventail qu'elle utilise très habilement pour parer. Elle finit par disparaître, assénant une réplique cinglante à Mathilde où elle assume qu'elle l'abandonne à dessein. Le Pavois tente de résister et protéger sa demoiselle mais se retrouve bien impuissant face à nos quatre héros. L'Eisenör cède à la proposition de Lucille, qui promet que Mathilde aura la vie sauve si il dépose les armes. Le Pavois accepte ... Mathilde s'effondre à genoux, en larmes, pour comme de coutume tenter d'amadouer sa tante. Konrad finit par les rejoindre après avoir livré son prisonnier à Armin, et invective le Pavois, ce qui déclenche une rixe (l'Eisenör a refusé de rendre ses armes). Mais le chevalier refuse de se battre et invite le Pavois à méditer sur les conséquences de son serment, qui l'a mis au service d'une personne des plus méprisable et sans honneur. Svetlana, elle, a également livré Depaix à son majordome pour qu'il soit ficelé. Savino et ses hommes ont quant à eux nettoyé les autres bâtiments, sauf un, qui tient encore tête au navire.
Tout le monde regagne ensuite le manoir, sauf Enzio qui prend l'initiative d'aller négocier avec les derniers brigands encore retranchés dans le bâtiment face au navire. Il parviendra à négocier leur départ contre Axel, Wilhelm, son grand frère, étant à la tête du groupe de forcenés (il est très désireux de reprendre le gang à son compte maintenant que Depaix est hors course...). Tandis que Svetlana et Konrad se rendront à la Forteresse pour livrer Depaix à la justice et demander une entrevue avec Trägue, Lucille entreprendra une longue discussion avec Mathilde, où cette dernière, contre quelques informations sur Morangias, parviendra à sauver sa peau. Elle avouera en particulier que le noble montaginois, trafiquant notoire de reliques syrneth, a donné un très ancien artéfact à la Princesse Mélisande, de la Sombre Cour, le Diadème de Titania ! Et c'est ainsi qu'il lui aurait demandé en échange, en autres faveurs inconnues de Mathilde, de les ralentir, ce qui explique la terrible tempête qu'ils ont essuyé en quittant l'Avalon. Mathilde finira par accepter d'être mener en Avalon pour subir le jugement de sa famille (plutôt que la justice civile de Freiburg, même si elle risque de terminer sa vie emmurée ...), mais Lucille pense à juste titre qu'elle se prépare encore à user de ses alliés pour lui échapper une fois de retour au pays.
Svetlana et Konrad rencontreront une nouvelle fois Wilma Probst, qui a déjà été mise au courant par Savino. Konrad propose donc d'organiser au plus vite le mariage civil avec la Baronne de Drachenheim et en même temps de céder à la ville par contrat la gestion de la mine de Dracheneisien, contre une part des bénéfices tirés de l'exploitation. Wilma accepte et demande une heure pour préparer la cérémonie. Ce qui laisse peu de temps à Svetlana pour prévenir ses témoins et se faire correctement parer pour l'occasion ! Konrad choisit Amaury et Enzio, tandis que l'Ussurane prend évidemment à ses côtés Léonora et Lucille.
Une heure plus tard la cérémonie se tient dans la salle des mariages de l'Hôtel de Ville. Le maire procède à l'échange des serments et c'est à Wilma qu'il doit rapidement céder la place pour la signature du contrat d'exploitation. Elle leur remet également une cassette contenant 400000 guilders en lingots de Dracheneisen, ce afin de liquider la dette auprès de Erhart, l'usurier qui s'occupe de son recouvrement pour le compte de Morangias.
Le groupe s'empressera d'ailleurs d'aller la solder, ce malgré le couvre-feu, en rendant une visite nocturne au détestable personnage. Ce dernier insistera d'ailleurs sur le fait que payer leur dette ne les met pas à l'abri de leur ennemi, et qu'en ce qui le concerne directement, Erhart n'a rien à craindre pour la pérennité de son commerce sur Freiburg (il a avancé de grosses somme à la municipalité pour financer la guerre ...).
Nos héros finissent par retourner au manoir où les attend un copieux dîner, et une bonne nuit. Savino leur avait avoué un peu plus tôt dans la soirée qu'il a été missionné par le conseil de la ville pour aller négocier avec Fauner Pösen.
Le lendemain, Amaury se rendra de tôt matin à Charousse par un portail Porté afin d'avoir une entrevue avec Dame Jamais Sicée de Sicée à propos du Sieur Monrangias. Elle lui indiquera qu'elle ne peut pour l'instant qu'officieusement lui donner l'ordre de l'éliminer, car ses appuis à la cour de Montaigne et ailleurs (Société des Explorateurs, Ligue de Vendel, Chevaliers de la Rose et de la Croix ...) lui garantisse une certaine immunité.
Au moment du déjeuner éclatera une violente dispute entre Enzio et le reste du groupe, alors qu'il leur avoue qu'après tout l'affaire Morangias ne le concerne pas. Amaury lui laissera la journée pour réfléchir afin de prendre sa décision : soit il prend fait et cause pour le groupe et leurs ennemis ou quitter le groupe pour toujours. Savino reviendra tard dans l'après-midi pour leur avouer que les négociations ont échoué, bien que la ville dispose désormais du plus important gisement de Dracheneisen de tout le pays. Pösen ne reconnaît de toute façon pas l'existence de Freiburg et donc ses revendications sur une quelconque mine. Etant sur son domaine, celle-ci lui appartient ... Elle laisse jusqu'à l'aube l'occasion pour la population qui le souhaite de quitter la ville. Après, elle attaquera pour récupérer son bien, avec l'aide opportune de Heilgrund au sud. Savino a été nommé général en chef de l'armée de Freiburg et a toute disposition pour se choisir des capitaines qui défendront plusieurs positions stratégique de la ville avec une partie des troupes. Amaury défendra le Rotström avec le navire contre une attaque fluviale, Léonora défendra le quartier marchand avec Lucille, Konrad et Svetlana défendront la rive nord-est, et Enzio, qui a fait son choix, défendra le quartier des baraquements. Savino commandera l'ensemble de la défense depuis le Stein. Tout le monde se prépare, à la faveur de la nuit, à tenir son poste lors de l'offensive à venir.
Le lendemain à l'aube les armées se mettent en branle. La bataille durera toute la journée et verra la victoire, inattendue, des armées de la ville. Amaury repoussera vaillamment les barges de débarquement lancées sur le fleuve et défera l'un des lieutenants de Pösen en combat singulier. Enzio se révélera être un brillant tacticien et repoussera habilement les troupes ennemies en utilisant le terrain à son avantage (les bas-fonds qu'il connaît si bien). Léonora tiendra héroïquement face à l'ennemi, vaincra le capitaine à leur tête, mais son armée subira de très lourdes pertes durant la retraite de l'ennemi alors qu'il sait la bataille perdue. Enfin Svetlana et Konrad, alors que l'assaut de la cavalerie Pösen ravage leurs rangs, parviendront, ensemble, à la vie, à la mort, à réaliser l'exploit de s'imposer face à Fauner Pösen ! Konrad, affreusement blessé, ramènera sa prisonnière au Stein tandis que Svetlana continuera à mener les troupes, pour les mener à la victoire finale !
Freiburg est victorieuse ! Les troupes ennemies se sont retirées. Le conseil est réuni en toute hâte (même si Trägue, passablement éméché pour s'être réfugié dans l'alcool, croyant la bataille perdue d'avance, n'aura pas la lucidité suffisante pour prendre une quelconque décision) pour négocier la rançon de Fauner Pösen (800000 guilders !). Ses vassaux se hâteront tout autant de payer, pour éviter son courroux (le conseil étant heureux lui aussi de s'en débarrasser si rapidement). Konrad tentera de lui parler, de lui faire entendre raison, mais sans succès. La ville est sauve et indépendante, mais l'Eisenfürst n'a pas dit son dernier mot ...

magnamagister a écrit:

Tout s'enchaîne alors très vite. Konrad et Svetlana se débarrassent facilement des brigands encore debout, et commencent à botter les fesses de la crapule montaginoise, mais ce dernier parvient à échapper au couple infernal en sautant dans la rue. L'Ussurane le rattrape sans attendre en le plaquant lourdement au sol après un bond magistral sur son dos, coudes en avant ...

Afin que tout le monde comprenne bien, et dans un soucis narratif, voilà ce qui est arrivé à ce gros naze :
https://www.youtube.com/watch?v=ON8NB9A5sPE&feature=related

C'est important de bien visualiser la scène. A noter quand même... J'ai les hanches moins larges

Miatsou a écrit:

J'ai les hanches moins larges

Ah bon ?

Oui, c'est sûr que pour toi, les formes de fille, c'est pas ça qu'est ça
Si tu veux tu pourras faire le valet de pied de Konrad

Non, il est zoophile....