MA : Séance Seconde

L'aventure continue, toujours avec Skippy derrière l'écran.

Et c'est trois semaines de voyage bien mouvementées qui nous attendait ... Notre capitaine nous fait l'honneur d'un fabuleux et poignant discours où il nous rappelle l'importance du code. Il pose ainsi ses marques en tant que chef et nous fédère avec force et charisme autour de sa personne. Durant la première semaine Naga, notre fameuse opératrice senseur (on se demande pourquoi on l'a mise là, elle n'arrive même pas à retrouver ses sous-vêtements ... et puis je l'ai vu plus souvent le nez collé sur l'écran à jouer à la bataille navale avec Ed, à Pac Man ou à Space Invaders ) pense avoir repérer quelque chose, un croiseur impérial pense-t-elle ...??? Après une sortie de l'hyperespace en urgence menée de main de maître par votre serviteur et moult vérifications, il s'avère qu'il s'agit en fait de l'épave d'un transporteur. Je fais passer le champ de débris stellaire au vaisseau avec aisance. Hodor, notre capitaine, et quelques fusiliers se précipitent à bord de la carcasse pour looter joyeusement. Ainsi ils mettent la main sur des pièces de rechange, des armes, un scaphandre, et un bloc mémoire. Ce dernier révélera que le capitaine du vaisseau transportait un fabuleux trésor, un diamant, qui n'a pas été récupéré ... Heureusement j'ai enregistré les coordonnées !...
La deuxième semaine aurait été calme si il n'y avait pas eu cet incident d'hyperespace. Je parviens en effet à éviter une collision en sortant le vaisseau de l'hyperespace de justesse, mais avec maîtrise, comme tojours. Seulement je m'aperçois alors, tout comme Ed, que le gouvernail est inopérant. Il faut une heure à notre fabuleux mécano pour tout réparer (un paquet de crackers coincé dans les engrenages il paraît).
Troisième semaine de voyage, Mademoiselle "un tampax dans chaque oeil" Naga croit encore avoir détecté quelque chose d'essentiel (une solderie de produits de maquillage peut-être ?). Nous traversons en effet une perturbation énergétique aux effets indéterminées. Après encore moult vérifications et consultations des Historiens du bord, il s'agirait d'une Arabesque, une nébuleuse qui ne présente aucun danger mais selon les superstitieux de service (c'est du flan tout cela disait mon père, le célèbre capitaine Shakespeare !) l'observation de ce phénomène permettrait d'y lire son avenir ... Mais qu'est ce qui faut pas entendre. et notre capitaine plonge en plus ! Alors on observe hein (moi j'en profite pour aller aux toilettes, je le regrette amèrement car Hodor était passé avant ... Il porte bien son nom lui !) et on voit un renne du père noël avec un fusil et une jolie casquette ... Affligeant...
Bon, on arrive enfin sur la planète. Je fais entrer le vaisseau dans l'atmosphère et le pose avec style dans une crique à plusieurs centaines de kilomètres de l'astroport. On en profite pour renouveler l'air du vaisseau (ça sentait un peu la croquette et la petite femme qui se néglige comme on dit) et moi je vais me dorer au soleil avec Naga (avec qui je fais la paix après trois semaines à se balancer des vacheries à la tronche). Pendant que ça tergiverse sur la marche à suivre (aller à l'astroport et payer les droits d’appontage, la honte !) moi et Hodor on va faire une petite ballade dans l'arrière pays. Je trouve des traces de passage qui mène jusque dans la forêt. On est accueilli par de sympathiques autochtones qui nous offre le thé et la gnôle du pays. le village que l'on recherche, celui où Montoya serait né il paraît, n'est pas dans le coin. On revient alors au vaisseau pour prévenir. Le capitaine est furax parce qu'il a dû nous attendre ... Du coup on décolle vers l'astroport sans attendre (enfin dès que le capitaine a fini sa sieste et que tout le monde retourne à son poste après avoir maté Naga qui dorait au soleil tout la matinée).
Là j'en profite pour aller ... au bar à strip-tease. Les autres se démènent pour trouver des infos, trouver un guide (Lily s'en charge), trouver un véhicule pour se rendre au village (Naga et Ed obtiennent une belle ristourne en montrant leurs seins, comme d'hab ...) pendant que moi je bois, je profite, je glisse des crédits dans le string de strip-teaseuses ouvertes d'esprit et pleine de conversation ... Il paraît que notre capitaine aurait fait mourir un vieux de trouille en lui posant des questions ! Quelle homme !
Je reviens au vaisseau requinqué, prêt à faire des miracles. Je propose alors à notre médecin de bord une petite partie de billard (queue, boules et trous compris). Elle me laisse ma chance et ne l'a d'ailleurs pas regretté : les murs du vaisseau s'en souvienne encore ("j'ai encore rêvé d'elle !...je rêve aussi ...").
Le lendemain on part donc pour notre ballade champêtre. Je dois obéir aux ordres et piloter un vieux tacot à moteur à explosion. Quelle misère tout de même parfois. Bon je m'en sors bien, et Ed aussi dans le deuxième véhicule jusqu'à ce que l'un des pneus explose et nous envoie dans le décor malgré mes tentatives héroïques de contrôler cette poubelle sans direction assistée, sans ABS, ARS, et qui n'a même pas la boîte auto ... Les passagers s'en sortent bien, moi avec quelques côtes fêlées (mais bon je serre les dents ... j'en ai vu de pires !). Et là le capitaine se prend un tir de laser dans le dos ! Je sauve Naga en la mettant à couvert (sous mon corps viril). Et je ne vois ensuite que peu de chose de la scène qui suis. Lily essaye vainement de tirer sur le sniper qui nous arrose. Le capitaine aussi, ce qui le contraint à une approche discrète. Hodor n'est pas très loin derrière, en renfort. Le capitaine atteint l'arbre et renvoie vaillamment une grenade fumigène qui lui était destiné. Il grimpe malgré les barbelés, mais voit alors une bombe qui s'apprête à exploser et le sniper qui s'enfuit sur une tyrolienne. Le capitaine accomplit alors un geste digne des plus grands héros en sautant sur le câble de tout son poids pour le faire rompre au moment même où la bombe lui explose dans le dos ! Hodor alpague le sniper avec son lance-harpons. Le capitaine retombe avec classe sur le sol, le dos fumant, fier ... et il peut devant une telle prouesse ! on interroge alors le sniper qui se révèle être un chasseur de prime envoyer par les Bratisla Boys (les nazes que le capitaine a tartiné dans le bar où l'on s'est rencontré ...) pour nous affaiblir. En plus c'est Bert qui les prévenu de notre destination pour soi-disant nous permettre de se confronter à des ennemis à notre mesure et ainsi se forger une digne réputation. Ce vieil incontinent grabataire mérite la planche je vous dis ! Ils nous attendent tous au village (une quarantaine de soudards et autres bras cassés ...).
Bon, on ne perd pas de temps on appelle le vaisseau. On profite de cette attaque pour trouver un nom à notre groupe de pirates : les "Stellar Gremlins". Ça pète hein ? Une fois arrivé, on grimpe à bord à l'aide de cordes, et je me mets au commande et on débarque en moins d'une minute sur le village, en position d'attaque. Naga fait une nouvelle fois montre de ses talents de négociation mammaires et tout ce petit monde se rend avec facilité. on obtient les coordonnées de leur vaisseau, en stand-bye en haute atmosphère par triangulation en obligeant le chef des péquins aux yeux bridés à entrer en communication avec leur bâtiment. Je réalise alors une manoeuvre digne des plus grands pilotes de la galaxie pour placer notre vaisseau juste dans le sillage du vaisseau ennemi. Le temps de nous rapprocher, l'ennemi a le temps de faire une manoeuvre de retournement, mais Lily veille et envoie les feux de l'enfer sur la proue du navire de nos adversaires (un tir des plus magistraux qui restera dans l'histoire !). Le vaisseau, très gravement touché, décroche de sa trajectoire. Il n'y a plus rien à faire, il va s'écraser. Hodor tente malgré tout le tout pour le tout malgré les ordres du capitaine et aborde, le vaisseau, seul, pour sauver une poignée de personnes et du matériel vital.
Une fois le vaisseau écrasé, Ed parviendra à récupérer des pièces et des armes dans la carcasse encore fumante de l'appareil.
Nous retournons au village après que tout le monde ait été soigné ce qui me laisse une nouvelle fois l'occasion de recharger les accus de notre médecin de bord ... désolé encore pour le bruit) pour y chercher enfin les informations pour lesquelles nous étions venus. Naga découvre le livre mémoire de Montoya et nous pouvons ainsi en apprendre plus sur son histoire, son passé. Ce n'était en fait qu'un simple ouvrier dans les champs de coton (qui chantait le Blues !!!! et d'ailleurs en son honneur on chante nous aussi le Blues avec Hodor) qui est devenu pirate par amour pour une certaine Gertrude (lui s'appelait en fait Pierre Carlton, le mythe en prend tout de suite un coup ...).
Bon voilà tout cela c'est très bien mais il faut déjà partir pour l'étape suivante de notre voyage. On a toujours une ultime quête à réaliser, et je suis sûr que le vieux nous cache encore des choses. En plus nous savons que nous aurons un comité d'accueil (les Bratisla boys, encore eux ...). Ça risque de chauffer !

Et c’est parti pour trois semaines de voyage. Trois… semaines… c’est long. Surtout quand on a, entre autres, M. Je-suis-pénible aux commandes et un capitaine trop zélé qui nous refait le coup du discours communautaire qui vise à tous nous unir pour le meilleur et pour le pire.
Le pire, ouais, trois semaines à bricoler ce rafiot pour que rien ne pète dans les soutes et histoire qu’on reste en vie. Trois semaines de déconvenue à la vue des toilettes. Et des douches. Trois semaines à supporter les vantardises des uns et les bourrineries des autres.

Du coup je reste dans les soutes à réparer et à jouer avec Naga à la bataille navale (ne lui dites pas, mais je crois qu’elle a toujours pas bien assimilé les règles : normalement, le bateau est coulé quand il est touché… pas juste quand la case est sur le damier !). À un moment nous avons même croisé une épave de transporteur. On a pu récupérer divers trucs plus ou moins utiles comme des pièces de rechange et un bloc mémoire. Et aussi d’autres trucs comme des armes, un scaphandre…

La deuxième semaine se passe bien jusqu’à ce que La Mangouste craque un coup alors que nous sommes en hyperespace et nous annonce une collision imminente avec au moins 7 astéroïdes de niveau 4 et un gouvernail en rade.
Alerte, alerte.
Évidement rien de tout ça, juste un pilote qui s’enflamme dès qu’un bouton clignote et qu'un paquet de crackers a été oublié sur mon gouvernail.
Je veux bien être sympa, mais j’annonce : le premier que je chope en train de boulotter des conneries dans ma salle des machines, je le détruis. La Mangouste, ça passe pour cette fois, mais te voilà prévenu !

Pendant que Naga s’exerce à la difficile tactique de Space Invaders, une perturbation énergétique affole les voyants. Une Arabesque. Une spectaculaire manifestation de la physique. Alors que certains font leurs prières et que d’autres tentent de « percer le secret » de cette magnifique Arabesque, j’ai tout le loisir de l’observer tranquillement depuis mon hublot.
À la demande du capitaine (tsss), Naga fait une brillante interprétation de cette manifestation et y voit un… renne du père noël avec un fusil et une jolie casquette. Elle est vraiment épatante.

Enfin, nous arrivons à destination et, en bons pirates, refusons de payer quoi que se soit à l’astroport. Nous décidons donc d’amerrir près d’une crique, à plusieurs centaines de kilomètres de l’astroport.
Après de longues semaines, Naga et moi pouvons profiter d’un bon bain de mer suivi d’un bain de soleil pour nous requinquer un peu (si tout le monde avait pu suivre l’exemple).
J’en profite pour ouvrir le vaisseau à tous les vents afin que l’odeur tenace de certaines personnes négligées puisse enfin s’en aller. C’est pas pour dire, mais plus c’est grand, plus c’est con et plus ça fouette ! (surtout quand on a quatre dessous de bras).
Malgré le capitaine qui trépigne et qui braille des ordres, personne n’ira plus loin tant que les soutes sentirons le marcassin crevé et que les tôles de la carlingue n’auront pas été ressoudées ! Bref, c’est moi qui dis quand on y va.
Pendant que certains bossent et que d’autres bronzent, Hodor et La Mangouste décident de partir faire un tour chez les autochtones. Ils reviennent finalement au bout de quelques heures, un peu plus soûls.

Pour finir, le capitaine ordonne que nous nous rapprochions du spatioport. Parce que pirates, certes, mais 400km à pieds, ça use, ça use !
Une fois beaucoup plus près, et pendant que La Mangouste se galvanise tout seul de ses talents de pilote, nous descendons à terre pour rechercher des infos sur Montoya.
La situation du village de Mananta, supposé village de naissance de Montoya, est confuse et lointaine de surcroît. Nous nous séparons en petits groupes pour élargir le terrain de recherches.
Je pars avec Naga à la recherche de moyens de transport. Nous ne trouvons qu’un loueur de jeeps. Après une petite conversation, des mensonges bien enrobés (surtout pour Naga) et quelques jérémiades appropriées, nous parvenons à faire baisser le prix d’au moins moitié et donnons rendez-vous à notre loueur le lendemain.
Pendant ce temps, La Mangouste dépense les quelques sous que nous avons gagné en dames frivoles et autres plaisirs basiques et typiquement masculin, Lily part à la recherche d’un guide, Blackstone interroge un vieux qui lui claque entre les doigts (mais quelle subtilité…) et Hodor a encore disparu.

Le lendemain, après avoir passé une soirée pénible à écouter encore et toujours les vantardises de La Mangouste (Il parait que son vrai nom est Roméo… quelle ironie) à propos de l’infirmière de bord, nous prenons la direction du village.
Les jeeps sont en fait d’archaïques systèmes à explosions (quelles bandes d’arriérés quand même) mais finalement même La Mangouste réussi à faire démarrer l’engin et nous nous dirigeons vers l’endroit indiqué.

Le trajet se passe bien... Enfin pas plus d’une heure, car soudain le pneu avant de la première jeep, conduite par La Mangouste, explose, projetant la voiture dans le décor, les passagers avec.
Je tente une manœuvre qui échoue et nous nous retrouvons tous le cul par terre et tentons de nous mettre à l’abri derrière les véhicules, puisqu’un petit malin nous canarde, planqué dans les arbres des alentours.
Alors que nos bourrins habituels (j’ai nommé, le Capitaine, Hodor et Lily) se ruent sur la cible, Bert nous révèle innocemment que se doivent être les autres tocards du bar. Devant nos mines déconfites et interdites, il nous explique que, non, nous ne sommes pas les seuls à avoir eu vent des péripéties de Montoya et que d’autres que nous le recherchent. Et comme on fait ce qu’on peut pour manger quand on est vieux, Bert a gentiment informé la moitié de la planète, au moins, avec les mêmes informations que nous détenons, à savoir, pas grand choses en réalité, mais assez pour se faire embusquer sur une planète paumée. Et merde.
Puisque les bourrins sont partis dégager le terrain, j’entreprends de bidouiller une radio afin de pouvoir prévenir le vaisseau et lui dire de rappliquer fissa pour nous sauver les fesses.
Quelques minutes plus tard, le vaisseau est là et nous montons à bord. Nous récupérons dans la foulée les trois bourrins partis bourriner le tireur. Ils le ramènent au bout d’un grappin. L’homme est quelque peu mal en point.
Nous parvenons à le faire parler et il nous révèle que ses acolytes nous attendaient en fait de l’autre coté de la planète afin de nous intercepter dès que nous serions à portée. Il nous confie également que d’autres de leurs vaisseaux sont répartis aux quatre autres endroits indiqués par le bloc mémoire confié par Bert. Pour le moment, le reste de sa troupe est restée au village.

Fait étonnant, dans la confusion, nous nous baptisons nous même, après moult propositions - notamment et non retenu les « Naga’s Slaves » - les « Stellar Gremlins », référence touchante à l’intelligence et à l’ingéniosité subtile de Naga (rappel : les faux laissez-passer pour piller les vaisseaux).

Puisque nous avons été attaqués, les minauderies n’ont plus cours. La Mangouste effectue un vol parfait et nous positionne au dessus du village, tous canons sortis, avec Naga en figure de proue magnifique, et nous exhortons la population à révéler les malfrats.
Nous parvenons à localiser leur vaisseau dans la haute atmosphère. S’en suit une bataille aussi rapide qu’épique. Leur vaisseau est bousillé jusqu’à l’os grâce à un tir rageur de Lily, Hodor parvient à sauver quelques malheureux équipiers et le vaisseau s’écrase lamentablement sur le sol.
Plus tard, grâce à un coup du sort, je parviens à extraire pour 9000 crédits d’armes en tous genres ainsi qu’une carte de navigation hors de prix.

Ces péripéties auront au moins eu un avantage : nous en apprenons plus sur Montoya.
Nous trouvons sa maison et découvrons avec Naga (elle est bourrée de talent, je n’arrête pas de le dire) le livre de Montoya où il raconte sa vie… et son « imposture ».
Pierre Carlton de son vrai nom. Un nom peu moins… séduisant. Un ancien ouvrier de champs de coton (pitié, plus de chanson !!!). Par amour pour une certaine Gertrude (on notera que plus on s’éloigne de la civilisation, plus les noms sont… typiques), il est devenu pirate. Et s’est trouvé un pseudonyme. On le comprend.
Bref, nous plions bagages et repartons pour une nouvelle escale, guidée par les coordonnées (largement) données par Bert et par notre immense chance !

Mémo pour moi-même : racheter des boulons. C’est fou la vitesse à laquelle ils partent…

Journal de bord accès prioritaire 666999 capitaine Blackstone.

Naissance du vaisseau Purple Rain.

Début du journal de bord.


Jour 1: Départ pour l'aventure, nous allons à la recherche du trésor de Montoya en suivant son parcours à l'aide d'un vieux fou.
Je suis accompagné par une équipe performante, et très individualiste.

jour 5: Le préposé aux senseurs a découvert un bip. Il semble que ce soit un vaisseaux amiral impérial. Position de combat. Après vérification par le pilote, le mécanicien et les historiens, il s'agissait en fait d'une épave.
L'exploration est fructueuse, armes et équipement + le journal de bord.

Jour 8: après lecture du journal de bord il semble qu'un énorme diamant se trouve sur l'épave. Nous gardons les coordonnées pour plus tard.

Note personnel: la cabine du capitaine est confortable, mes lieutenants sont compétents, mon repos n'est pas trop perturbé.
Tous va bien pour le moment, mais je dois penser à améliorer l"analyse des données du senseurs.

Jour 12: Le pilote fait une crise et s'arrête d'urgence, il a évité un ovni en hyperespace. Pfiou sauvés....... le gouvernail en a pris un coup, le mécano répare et on repart.


Jour 18: une perturbation énergétique dans l'espace me sort de ma sieste, j'y assiste pendant un certain laps de temps, il semble que ça puisse prédire quelque événements mais l'essai n'est pas concluant (aucun cerf avec un bonnet et un fusil rencontré depuis).


jour 23 : Nous atterrissons, "dans une crique" sur les conseils du pilote pour ne pas payer les misérable 50 crédits. Nous nous retrouvons à nous dorer la pilule à 400km de notre objectif.

Note personnel: faire abstraction des délires du pilote.
Après une sieste pleine de zénitude nous allons au spatioport.

Les lieutenants cherchent des informations et un moyen de locomotion pour aller sur l'objectif principal.
Vous voulez en savoir plus............cliquez ici (lien vers les blogs des lieutenants).
Un vieux meurt de peur après une simple question, ce peuple est faible, aucun intérêt.

jour 24 : L'équipe d'exploration conduit par moi-même inclut la "Loose Mangouste", Ed le mécano, Lily, Hodor l'historien survitaminé aux anabolisants, et Naga fofolle Montoya, ainsi qu'un guide.

On est pris dans une embuscade, les véhicules sont immobilisés tandis qu'un sniper essaye de nous trouer la carcasse. Après un tir infructueux, je charge sa planque. Je subis sans broncher les piqûres de son fusil.
J'arrive à lui renvoyer une grenade qui malheureusement n'était que fumigène, j'atteins son perchoir qu'il a miné pour mieux s'enfuir, je le rattrape sur le filin au moment où l'explosion me taquine le dos.

Hodor, "l'historien" le harponne magistralement et le ramène au sol. Après interrogatoire, c'est un mercenaire qui accepte de trahir ses employeurs, les "boys bratislavavava", et de nous rejoindre .
Rien qu'un groupe de pochards rencontrés dans un bar qui pensent que être pirate est un amusement.

Le Purple Rain nous rejoint. Nous éliminons la menace sans heurts au village natal de Montoya. En représailles, nous attaquons le vaisseau des bratistruc boys. La canonnière est exceptionnelle, elle l'a presque coupé en deux en un seul tir.
Il est ensuite pulvérisé par un de ses hommes. Vengeance est faite contre l'affront commis sur ma personne.
Nous fouillons l'épave et un maigre butin est découvert.

Les + de 2 neurones discutent avec la populace et découvrent des informations sur Montoya. La quête continue.


Notes personnelles : Le vieux schnoque nous avait donné au B. Boys band pour nous faire un nom. J’apprécie le geste. Sans défis nous ne serons jamais la terreur la plus crainte dans les cieux.


Fin de connexion.............................

"Nous fouillons l'épave et un maigre butin est découvert"

Mais cet homme ment !! déjà j'y suis allée toute seule et en plus ça a rapporté 9000 crédits ! une super carte de-la-mort-qui-tue à 5000 crédits ! maigre toi même !

Les chroniques de Naga la superbe II

Moi Naga digne héritière autoproclamée de Montoya je...tsshh zzz zzz hey mais ca tshhh .......déconne ce truc !bip bip .....


Ah bah voilà il y a plus de place ....tshhh pfff bip bip ..... donc je suis shhhh moi la plus forte tzzzzsghh plus belle.....biipp ERROR ....

Maudit programme ! comment il est arrivé là ... j'y pige rien à ce journal .....je vais devoir demander à ED de réparer ça .....

Naga .... termi-couic-....thsshhh GAME OVER .....

Capitaine ! Capitaine ! C'est tout simplement scandaleux ! Qu'on ne vienne pas se plaindre après qu'il y ait tant de soucis d'analyse au poste senseurs !

Hihi Hodor !!!