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 La Campagne des Féals : Scénario Premier

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magnamagister
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MessageSujet: La Campagne des Féals : Scénario Premier   La Campagne des Féals : Scénario Premier Icon_minitimeVen 16 Mar - 19:47

Scénario d'introduction de la nouvelle campagne.


Prologue : "Et le Rideau se lève !"


Chapitre I : "Les Bas-fonds d'Aldarenche"
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magnamagister
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MessageSujet: Re: La Campagne des Féals : Scénario Premier   La Campagne des Féals : Scénario Premier Icon_minitimeJeu 17 Mai - 0:35

Prologue :
Ainsi commence l'histoire d'une fratrie de six mimétiques, dans la capitale de l'Empire de Grif', Aldarenche. Venant d'horizons très différents, des quatre coins du M'onde, ils ne savaient pas encore que le Néant allait leur tendre un piège par l'intermédiaire de l'un de ses séides, le Marionnettiste. Leurs destins allaient être scellés à jamais.
C'est par une douce nuit, au troisième jour du mois de l'Aspic, que Krel, le seigneur Léonide chimérien, Kel'Hari, la Calamade hospitalière caladrienne, S'taria, la Scarice aspice des Rivages, Pelor, le Coruscant Pégasin, Lucius Balga, le Chevalier du Lion Blanc grifféen, et Paarthurnax, l'Officiant du Souffle draguéen se rencontrèrent au Théâtre-Bouffe, une salle de spectacle orgiaque comme il y en a tant dans les bas-fonds de la capitale. Le rabatteur les avait aisément convaincu de venir prendre un peu de bon temps en échange quelques pièces, voire gratis pour les plus récalcitrants, ce contre la promesse de spectacles inédits, de nourritures abondantes et de vins à profusion. En face de l'entrée un vieil aveugle, un capucin sur l'épaule, joue de la flûte en espérant récolter quelques menues monnaies.
A l'intérieur la table où sont assis les convives est garnie telle corne d'abondance. Des échansons peu farouches aux atours diaphanes remplissent allégrement les verres, et se laissent aller à proposer quelques faveurs contre de modestes rétributions.
Le draguéen négocie sans attendre l'assistance de deux demi-mondaines pour l'accompagner dans une alcôve. Le chimérien fait le bonheur et l'envie des convives en prenant sans pudeur, aucune, une serveuse sur la table tout en s'empiffrant sans retenue. La caladrienne se réfugie en bout de table comme pour fuir tout compagnie mais se voit vite rejoint par un prince aux boucles d'or et à la langue de miel qui s'empresse de la séduire avec douceur. L'aspice ne peut s'empêcher de délester de sa bourse un noble grifféen très occupé dans une alcôve. Le Pégasin profite des mets et des nectars, sympathisant avec facilité avec ses voisins de table. Enfin le chevalier grifféen prend de la hauteur en gagnant la mezzanine pour surveiller les moeurs de l'assemblée et veiller à ce que personne s'enfreigne les lois impériales.
Mais c'est alors que le rideau se lève ...
Le draguéen, qui prenait du bon temps dans son nuage d'encens hallucinogène, voit ses hôtesses se faire plus violentes, plus brutales. Les caresses laissent place aux griffures, lacérations, morsures, aux pénétrations à l'aide d'objets improvisés ... Paarthurnax est paralysé, incapable de bouger ne serait-ce qu'un doigt pour échapper à ces ménades, comme si elles étaient en transe. Il s'aperçoit alors que des convives lubriques reluquent la scène avec avidité. Les rires et les commentaires salaces pleuvent. Alors que la scène devient insoutenable, le draguéen s'aperçoit qu'il est en fait sur scène, sous les yeux de tous ...
Le chimérien quand à lui voit le rideau se lever sur une tragédie familiale et familière. Sa mère, une pégasine, sale, meurtrie, et apeurée, est emprisonnée dans une geôle sombre d'un manoir chimérien. Un grand roux bâti comme un chêne, son père, apparaît et propose à la prisonnière de se donner à lui pour sauver les siens de la mort. Suit un monologue poignant où la femme, partagée entre l'avenir des siens et sa vertu, finit par accepter l'odieux marché du barbare. Il la mène dans sa chambre et sans attendre fait subir les pires outrages à la pudeur de la pégasine durant toute une nuit. Au petit matin, alors que le barbare est enfin endormi, la pégasine se lève pour voir le soleil se lever. Dans la cour du château elle aperçoit les têtes des siens plantées sur des piques ...
L'aspice voit alors le rideau se lever sur un spectacle de charmeur de serpents. Seulement au lieu de reptiles c'est un Féal Aspic qui se retrouve être le jouet du charmeur. Elle doit ainsi supporter que son féal tutélaire soit l'objet de tours plus avilissants et grotesques les uns que les autres, l'animal mythique semblant dépourvu de libre arbitre et de raison. Incapable d'agir ou de hurler sa rage, l'aspice voit le rideau se baisser sur cet insoutenable spectacle.
La caladrienne, elle, se voit de plus en plus charmée et séduite par le prince charmant, un être apparemment sensible, sincère, et généreux. Elle finit par se laisser entraîner par le beau parleur qui l'invite à visiter sa chambre. Là elle connaîtra une nuit des plus torrides, charnelles, et riches en émotions. Mais alors qu'il lui aura arraché sa vertu avec de belles promesses, le prince d'un soir s'en ira sans même lui dire au revoir au petit matin. La caladrienne, souillée, s'apercevra alors qu'elle est sous le regard de tous, sur la scène ...
Le pégasin, lui, va avoir le grand honneur d'être l'assistant du grand Basile, un lanceur de couteaux réputé. Le Coruscant est installé sur une roue, solidement harnaché. Le saltimbanque se met alors à lancer les couteaux, les yeux bandés, devant la foule en délire. Les lames commencent par atteindre les membres de Pelor. Son sang coule lentement, inexorablement par les plaies infligées. Puis les dernières lames son torse et sa tête, finissant par lui faire perdre conscience. Le rideau se baisse sous les acclamations des convives !...
Le chevalier grifféen voit quand à lui le rideau se lever sur un spectacle de marionnettes. Les pantins représentent les membres de sa famille, lui compris, dans leur riche villa urbaine. Puis, tel une farce grotesque, les marionnettes se mettent à s'assassiner à grand renfort de projections de sang qui jaillissent jusque que sur le public, plus qu'enjoué ! Lucius se retrouve seul alors que toute sa famille s'est entre-tuée, au beau milieu d'un bain de sang. Une main apparaît enfin pour couper les fils de sa marionnette, qui s'effondre mollement. Le rideau se baisse.
Le lendemain matin les mimétiques se réveillent dans leur chambre, cellule, villa ..., avec un souvenir des plus précis de tout ce qui s'est passé hier soir au théâtre. La blessure du Néant est en eux désormais. La lutte ne fait que commencer ...


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magnamagister
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MessageSujet: Re: La Campagne des Féals : Scénario Premier   La Campagne des Féals : Scénario Premier Icon_minitimeJeu 17 Mai - 14:13

Chapitre I :
Les six mimétiques se précipitent au dehors et s'efforcent de retrouver le théâtre. Ils se retrouvent tous devant l'entrée voûtée d'une cour intérieure. Des gens plus que modestes habitent les bicoques environnantes. Le chevalier du Lion Blanc use et abuse de l'intimidation pour faire parler les femmes et les enfants, mais ils ne savent rien. Le draguéen essaye la manière douce, mais n'obtient pas beaucoup plus. Le pégasin décident de faire appel à son Féal et inonde le lieu de sa lumière. Elle lui révèle les blessures, les béances de chacun des mimétiques, désormais affligés par le Néant. Le draguéen fait lui aussi appel au Dragon pour tenter de capter le souvenir de la présence du Néant, et en ressent la trace lointaine, qui continue de s'effacer inexorablement.
Le groupe s'accorde alors sur le fait qu'il s'agit d'essayer de retrouver les individus qu'ils ont côtoyé durant la soirée. Car même si certains n'étaient que des pions de l'horreur néantique qui les a piégé (les comédiens et saltimbanques), les autres devaient comme eux être des victimes qui ont aussi été contaminées par le Néant. Mais à la différence des mimétiques qui ont été protégé par leur lien avec leur Féal, les autres sont irrémédiablement condamnés à l'Oubli dans un avenir plus ou moins proche. A la mention par le chimérien d'un trait caractéristique qu'il a remarqué sur la gourgandine qu'il a chevauché (un lobe d'oreille droit absent), la Caladrienne fait part d'un fait relevé par les gens de son ordre d'hospitaliers : un nombre anormal de gens viennent consulter à l'hospice caladrien pour se faire soigner d'amputations mal exécutées, mal suturées, ou à l'origine d'infections graves. La Scarice, elle, a gardé une bourse qui porte les armes d'une famille patricienne (une corne de brume et un dromon), mais leur nom échappe pour l'instant au chevalier ...
Le chevalier du Loin Blanc s'empresse alors d'aller prévenir l'Ekklésia sur la présence du Néant dans les bas-fonds.
Le groupe va ensuite faire un tour au grand marché d'Aldarenche pour tenter d'y trouver des saltimbanques ou des prostitués qu'ils aurait côtoyer la veille. Le chimérien apprend d'un vendeur d'esclaves de plaisir que les tares physiques sont très mal vues par la société grifféenne, et que de telles mutilations feraient de ses personnes des individus rejetés, cantonnés aux tâches les plus ingrates et soumis aux fantasmes les plus odieux de clients ou maîtres à la santé mentale plus que discutable. On lui indique une maison d'orgie dans le quartier des bordels, celle de Madame Agrippine.
Après s'être retrouvé à la taverne, et avoir accepté l'invitation de Lucius à déjeuner dans sa villa, le chevalier profitera que les autres mimétiques se consacrent à la méditation, à l'entraînement, à la lecture, pour aller une nouvelle fois consulter un membre important de l'Ekklésia au grand temple du Griffon. Celui-ci va lui révéler que les autorités ont en ce moment maille à partir avec une sectes d'indigents qui se mutilent volontairement pour soi-disant échapper à leur prison de chair et élever leur esprit, la Confrérie des Mutilés. La fratrie continue donc son enquête à l'hospice caladrien. Seul le pégasin et la Calamade s'y rendent effectivement, les autres s'installant à la taverne d'en face, la Scarice contrôlant les entrées et les sorties à la recherche de mutilés.
S'adressant au Père qui régit le lieu, la caladrienne se voit confirmer la recrudescence de mutilations chez les gens les plus pauvres. A cette instant précis un pauvre erre amputé du bras gauche tente de quitter discrètement les lieux, mais se fait rattraper et plaqué au sol par le pégasin. Les gardes interviennent devant un tel acte, mais les doutes sont vites dissipés par la Calamade en qui le Père a toute confiance ; il ordonne que le mutilé soit amené pour être interrogé. Le pauvre erre portait un paquet qui se révèle être son propre bras, à peine amputé. Il révèle, non sans mal, qu'il travaille dans les abattoirs et avait l'intention de vendre son bras à un riche représentant d'une maison patricienne qui les rachète grassement.
Pendant ce temps l'Aspice observe un vieillard souffreteux soutenu par sa petite fille qui quitte l'hospice. Rien d'anormal si ce n'est les gens qui lui emboîtent le pas : trois hommes, dont deux mercenaires couturés de cicatrices. Elle décide de les suivre à son tour. Mais au détour d'une rue l'un des mercenaires, dont elle peut maintenant sentir l'odeur de pourriture (un Charognard ?) lui assène deux violents coups de falchion sans qu'elle puisse répliquer ou parvenir à s'enfuir. Le draguéen, le chimérien, et le chevalier grifféen s'aperçoivent alors que la Scarice a quitté son poste. Il la retrouve baignant dans son sang. Le draguéen s'emploie alors à rapidement suturer ses vaisseaux et ses plaies mais elle demeure dans un coma dépassé. Il fait apparaître ses ailes de dragon et l'emmène sans attendre à l'hospice caladrien. Sur place, elle est rapidement prise en charge (et le draguéen surveillé par des gardes du fait de sa spectaculaire arrivée dans la cour du cloître) par son amie Kel'Hari. Elle fait appel à son Féal, le Caladre, pour sa résurgence, tandis que le pégasin fait appel au sien pour refemer ses blessures et effacer ses cicatrices. Elle s'éveille ... mais se verra maintenant affligé d'une séquelle irréversible aux poumons.
Le chimérien et le chevalier ont pendant ce temps suivi la piste des mercenaires. Ils les perdent dans le quartier des abattoirs ... Ils sont malgré tout certains qu'il s'agissait de Charognard à la recherche de mourants pour grossir leurs rangs. la consultation des registres de l'hospice caladrien confirmera que le vieillard est bel et bien suivi pour une maladie chronique, et est bien mourant, mais aucune adresse pour explorer cette piste (discrétion caladrienne oblige ...).
Le chevalier décide de retourner une troisième fois voir sa hiérarchie, mais cette fois il rend visite au prêtre du temple du quartier des abattoirs pour l'avertir d'une possible présence charognarde, et lui en demander plus sur le blason de la famille patricienne "trouvé" par la Scarice. Ce dernier serait les armes de la famille Vesper, une maison marchande florissante qui possède des chantiers navals mais aussi des abattoirs dans le quartier ... La famille est également connue pour avoir eu dans ses rangs un membre de la conspiration de l'Ordre du Scorpion, une résurgence du culte de la Manticore (un féal déchu voué au Néant éradiqué par les grifféens) qui avait tenté de renverser la famille impériale il y a quelques décennies. Quoi qu'il en soit le chevalier se voit tout de suite confier des miliciens et les tours de garde sont renforcés au moment même où la nuit tombe sur la capitale.
Pendant ce temps le draguéen rend visite à l'un des ses pairs dans le quartier dit des Halles des Mille Souffles. Le vendeur de livres et de reliques lui confirme qu'il a subi une blessure d'un Horreur du Néant et que désormais ils doivent agir ensemble en tant que fratrie pour le combattre.
A la nuit tombée, la fratrie se prépare à fondre sur les abattoirs de la famille Vesper pour mettre fin à ce trafic de chair humaine. Le chevalier, le pégasin, le chimérien, et le draguéen avancent en toute confiance vers l'entrée (la garde reste pour l'instant en arrière, prête à intervenir) tandis que la caladrienne tente de prendre de la hauteur et de se hisser sur le toit du hangar, mais elle chute lamentablement. L'aspice, elle, parvient à s'y mettre en position, arc à la main.
Les quatre décident d'entrer, et aperçoivent des indigents qui tentent de s'éparpiller, entre les quartiers de viande, tandis qu'au fond du bâtiment un homme encapuchonné se fait rapidement entraîner vers la sortie côté fleuve par des hommes lourdement armés. La garde intervient alors pour cerner les lieux à la demande du chevalier. Des renforts sont déjà en route. Les quatre chargent jusqu'à l'autre bout de l'abattoir pour défoncer la porte barricadé à la va-vite par les hommes d'armes. L'aspice leur assène déjà des volées de flèches sur l'homme encapuchonné mais le bouclier de son homme d'arme tient bon. Les deux hommes qui tenaient la porte volent littéralement sous l'assaut coordonné des quatre, et se retrouvent dans le fleuve. Le chevalier s'attaque aussitôt à l'homme au bouclier avec son inséparable lion blanc. Le chimérien fait appel à son Féal pour fragiliser la barque sur laquelle ils tentent de s'enfuir. Le pégasin enfonce le clou en transformant l'eau autour de l'embarcation en glace. Le deuxième homme d'arme encore debout tombe à l'eau, et l'homme encapuchonné s'effondre dans la barque qui se craquelle de tous côtés. L'homme au bouclier s'effondre sous les assauts du lion, et les autres finissent par se rendre à la milice (l'un qui tentait de gagner l'autre côté du fleuve est empêché par une flèche de l'aspice).
Tout ce petit monde, mendiants compris, est emmené en prison pour y subir un interrogatoire de la part de membres de l'Ekklésia (qui les condamne à mort  sur le champ pour hérésie ...). Le chevalier se voie confier le privilège d'en interroger quelques uns ; les hommes d'armes sont loyaux envers leurs maison et n'ont fait que suivre les ordres même s'ils savaient pour le trafic de chair humaine, l'intendant aussi ne faisait qu'obéir, mais avoue qu'il était de son ressort d'organiser les chargements mensuels vers la villa de la famille Vesper dans l'arrière pays (dans la petite cité côtière de Valpurgis). Les chargements de chair humaine (morceaux ou corps entiers quand ils pouvaient en acquérir auprès de l'université de Médecine ou dans les bas-fonds, auprès de draguéens peu scrupuleux ...) sont destinés aux orgies de patriciens qui se rassemblent en secret dans la villa des Vesper. Le culte de la Manticore n'est pas mort ...
Les prisonniers sont tous décapités ou pendus à l'issue, sans aucun remord de la part du chevalier. La villa urbaine des Vesper a déjà été investie par la milice. L'enquête, la lutte contre le Néant se poursuivra pour la fratrie dans la cité de Valpugis.


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MessageSujet: Re: La Campagne des Féals : Scénario Premier   La Campagne des Féals : Scénario Premier Icon_minitimeVen 18 Mai - 11:37

L'aspice va devoir se faire violence et suivre ce groupe bizarre. Enfin, je suis pas non plus obligée de rester collé-serré.
Mais la lutte contre le Néant est primordiale, même si il faut faire aussi quelques sacrifices pour mener cette guerre à bien.
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Miatsou
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MessageSujet: Re: La Campagne des Féals : Scénario Premier   La Campagne des Féals : Scénario Premier Icon_minitimeLun 21 Mai - 11:50

... sauvages !!!!!!!!!!
Assassins ! vandales ! ... méchants Sad

"la caladrienne tente de prendre de la hauteur et de se hisser sur le toit du hangar, mais elle chute lamentablement"

vas-y enfonce le clou ! "se vautre lamentablement" "s'écrase comme une m*rde" !
Merci, trop sympa Crying or Very sad
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MessageSujet: Re: La Campagne des Féals : Scénario Premier   La Campagne des Féals : Scénario Premier Icon_minitimeLun 21 Mai - 13:13

Tu n'étais pas motivée pour te battre c'est tout. Et puis tu fais tellement peu de bruit, que personne ne t'aura entendu.
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MessageSujet: Re: La Campagne des Féals : Scénario Premier   La Campagne des Féals : Scénario Premier Icon_minitimeLun 21 Mai - 19:00

La caladrienne était là avec nous pour l'assaut haaaa je ne l'ai pas vu elle faisait quoi en bas de son perchoir ?? Wink
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R-no
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MessageSujet: Re: La Campagne des Féals : Scénario Premier   La Campagne des Féals : Scénario Premier Icon_minitimeMer 23 Mai - 16:31

Si, elle a distrait les miliciens qui s'emmerdaient en bas dans la ruelle ! Merci à elle !

GLOIRE A L'EMPIRE !!
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Miatsou
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MessageSujet: Re: La Campagne des Féals : Scénario Premier   La Campagne des Féals : Scénario Premier Icon_minitimeMer 23 Mai - 18:02

Le prochain qui se pète un truc, et ben je lui fais un cataplasme à la mort-aux-rats... et on verra si vous vous marrez toujours !!!
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MessageSujet: Re: La Campagne des Féals : Scénario Premier   La Campagne des Féals : Scénario Premier Icon_minitime

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