Présentation du jeu

Devâstra propose de jouer des adolescents possédant un objet qui a appartenu à un Dieu, une Devâstra. Cet objet fait d'eux les avatars de la divinité correspondante, un Deva. Prithivî, le monde de Devâstra, est un univers médiéval-fantastique inspiré de l'Inde. Devâstra puise également ses inspirations dans les shonen, ces mangas pour adolescents où l'action est omniprésente, qui paraissent sous forme de feuilletons.

Prithivî est divisé en trois royaumes et plusieurs cités indépendantes. Pour ses habitants, cinq prophètes ont ainsi divisé la société en castes et ont établi les trois royaumes. Mais tout ceci est un mensonge. En réalité, la société de Prithivî est née sur les cendres d'un conflit ayant opposé les Devas aux Asuras, qui se rebellèrent contre leur autorité. Afin de gagner la guerre, les Devas ont du se sacrifier. Ils ont enfermé les Asuras dans une prison constituée de leur propre énergie vitale. Mais aujourd'hui la prison faiblit, les Asuras s'échappent, et les Devas se réincarnent sur Prithivî.

Le système de Devâstra utilise des dés à six faces. Une action est résolue en lançant un nombre de D6 égal à la valeur de la compétence correspondante. Chaque dé dont le score est inférieur à la valeur du trait associé à l’action est une réussite. Le nombre de réussites indique la qualité de cette réussite. En cas d'opposition, celui qui obtient le plus de réussites l'emporte.

La création d'un personnage s'effectue en distribuant des points de création. Un personnage est défini par ses traits (âme, charisme, mouvement, corps, esprit), des valeurs dérivées (vitalité, âtman, conviction et implication), des compétences, son karma positif et négatif (avantages et désavantages), et enfin sa Devâstra. Il s'agit d'un objet investi d'une partie de l'âme de son propriétaire originel, qui confère des pouvoirs à son porteur. Ces pouvoirs, au nombre de sept, sont découverts par le personnage à mesure qu’il gagne en puissance. Seuls les trois moins puissants sont révélés aux personnages débutants. Un système de points permet d’acquérir les éléments qui servent ensuite à créer chacun des pouvoirs.

Deux formes de magie existent sur Prithivî : les mantras, des mots de pouvoir, et les mandalas, des cercles de pouvoir agissant sur une zone. Tout comme les pouvoirs des Devâstras, les magies s'utilisent en dépensant des points de pouvoir (l'âtman).

Un jeu que j'ai eu l'occasion de bêta-tester et pour lequel j'ai eu le privilège d'être relecteur et conseil. Un jeu très sympathique à jouer, le système étant très dynamique, en accord avec l'ambiance Shonen, dans un univers original et inédit.

J'ai également testé le jeu pendant une convention. J'ai vraiment bien aimé la partie et aimerait bien en refaire une.

Tu as aimé le jeu et pourtant tu n'aimes pas Bloodlust. Bizarre, hum très bizarre .
Sinon moi aussi je veux bien tester "Arme-dieux-héros-pouvoir" hop, on m'appelle.

Là au moins, pas besoin d'être de plus en plus pervers, sournois, brutal ou vulgaire pour que l'arme et son compagnon soit bien.

C'est juste une entraide pour un monde meilleur.

C'est pas forcément de la perversion, c'est soit violence, réputation, prestige, sexe, et heu pi p'têt la thune.

L'arme a juste besoin de stimulant pour accroître son expérience, de truc nouveau, ça nous ouvre l'imagination pour certes se lâcher dans la violence ou autre choses, mais là c'est chaque perso qui fait selon sa conscience.

Ok c'est un jeu violent etc mais il n'a pas que ça le monde est assez sympa, l'histoire des armes aussi enfin bref c'est un jeu que j'aime.

Pour en revenir à Devâstra, si c'est pour avoir cette puissance sans les inconvénients et bien ouep j'en suis .

Sinon en monde violent il n'y a que ça : les med fan critique... je coupe la tête, le monstre de cthulhu qui t'entoure pour te broyer, les explosions, d
les impacts de balles, etc..., et les vampires !..... on imagine pas car on passe vite sur ces détails là tandis qu'une torture ou autre on décrit donc on visualise, mais si tu regardes de plus près on est encore pire ailleurs (qui a dit qu'on va jouer chaos ???).

Hs off
Ouep j'en suis.

Mouais à voir...

L'Inde, le Shonen, des objets qui font qu'on est l'incarnation d'un ancien truc puissant...Le programme fait assez patchwork quand même.

Ce jeu me fait penser à la nouvelle génération de petit jeu sans aucun suivi qui mélange un tas de truc pour atteindre un seul but => être original.
Hélas cette méthode propose des univers très loin d'être complet, avec de sacré problème de cohésion si le MJ a des joueurs qui aime aller en profondeur.